Dimanche 24 janvier 2016
Une nouvelle fois cet hiver, il fait un temps splendide sur les Pyrénées. L'occasion est trop belle pour ne pas ressortir le vélo. Je cible, pour l'occasion, une montée longue, peu pentue, ne menant pas à une station de ski, et assurément ouverte, alors que la neige tient à une hauteur d'environ 1200m... C'est peu dire que le choix est restreint!
Mon choix se porte sur une montée espagnole, le port d'Ibañeta à 1050m, qui amène au très connu site de Roncevaux.
Je vais en voiture à Arnéguy, le dernier village français après St-Jean-Pied-de-Port, sur la route de Pampelune.
C'est une route assez large, et une montée assez découpée dans sa première partie, avec quelques courtes parties raides. La deuxième partie est très régulière, pour ne pas dire monotone.
Je craignais un peu la circulation automobile dans le col, qui se situe sur une (ancienne) route nationale. Mais au final, ça a été.
Au niveau paysages, la majeure partie de cette montée se fait dans la forêt, et à part la vue de quelques cascades, ou quelques trouées sur la vallée, elle n'offre pas beaux points de vue.
Au port d'Ibañeta, c'est peu dire qu'il fait froid ! Mais je me décide quand même de prolonger jusqu'à Roncevaux, 2km en contre-bas de l'autre côté du col, une abbaye très connue sur le chemin de St-Jacques-de-Compostelle.
Cela étant, je n'y reste pas longtemps, car il commence à faire froid, la température indique 2°, et j'ai 2km de montée puis 20km de descente à faire...
Je m'étais préparé pour descendre dans le froid, où le thermomètre de mon compteur indique -1°. Glacial, par conséquent... Mais rien de plus normal, pour une mi janvier...
Une nouvelle fois cet hiver, il fait un temps splendide sur les Pyrénées. L'occasion est trop belle pour ne pas ressortir le vélo. Je cible, pour l'occasion, une montée longue, peu pentue, ne menant pas à une station de ski, et assurément ouverte, alors que la neige tient à une hauteur d'environ 1200m... C'est peu dire que le choix est restreint!
Mon choix se porte sur une montée espagnole, le port d'Ibañeta à 1050m, qui amène au très connu site de Roncevaux.
Je vais en voiture à Arnéguy, le dernier village français après St-Jean-Pied-de-Port, sur la route de Pampelune.
C'est une route assez large, et une montée assez découpée dans sa première partie, avec quelques courtes parties raides. La deuxième partie est très régulière, pour ne pas dire monotone.
Je craignais un peu la circulation automobile dans le col, qui se situe sur une (ancienne) route nationale. Mais au final, ça a été.
Au niveau paysages, la majeure partie de cette montée se fait dans la forêt, et à part la vue de quelques cascades, ou quelques trouées sur la vallée, elle n'offre pas beaux points de vue.
Au port d'Ibañeta, c'est peu dire qu'il fait froid ! Mais je me décide quand même de prolonger jusqu'à Roncevaux, 2km en contre-bas de l'autre côté du col, une abbaye très connue sur le chemin de St-Jacques-de-Compostelle.
Cela étant, je n'y reste pas longtemps, car il commence à faire froid, la température indique 2°, et j'ai 2km de montée puis 20km de descente à faire...
Je m'étais préparé pour descendre dans le froid, où le thermomètre de mon compteur indique -1°. Glacial, par conséquent... Mais rien de plus normal, pour une mi janvier...
Arnéguy, village de départ
Une vue sur la vallée d'Ondarolle. En haut à gauche, le pic de Beillurti.
Vue sur la vallée côté nord. La France est au fond!
Une épingle à cheveux
Cascade de bord de route
Au sommet du port d'Ibañeta
Il ne fait pas chaud à 1000m d'altitude : la neige tient sur les bas côtés!
Abbaye de Roncevaux
Devant l'abbaye de Roncevaux
Abbaye de Roncevaux.
À nouveau au port d'Ibañeta, 1060m. Avant de replonger vers la France, la température est glaciale et indique -1°.
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