dimanche 6 septembre 2015

80km autour de Laruns par l'Aubisque, le Soulor, et Arthez-d'Asson

Dimanche 6 septembre


Je suis à Laruns dans la vallée d'Ossau pour un deuxième jour de vélo, et j'envisage, ce jour, d'escalader le col de l'Aubisque.
La veille, j'ai escaladé le col du Pourtalet, un col long (30km)
Après un bon petit déjeuner et avoir causé avec un cycliste espagnol, il est 9h lorsque je pars à l'assaut de l'Aubisque.




Profil de l'étape


Carte de l'étape
Laruns, km0


Laruns est, à proprement parler, au pied de l'Aubisque, donc pas de temps de chauffe avant d'attaquer la côte! Après avoir vérifié l'état des pneus et du vélo en règle générale, 500m de plat, et c'est parti pour la montée !



Laruns, après quelques hectomètres de montée


La vallée de l'Aubisque, avec vue sur le Grand Gabizos en fond de vallée


Epingle à cheveu, après Eaux-Bonnes


La première partie du col, jusqu'à Eaux-Bonnes, est relativement facile. Une bonne mise en jambe de 4km à environ 5% de moyenne. La route est large, en cette fin d'été il n'y a pas beaucoup de trafic automobile, mais beaucoup de cyclistes. La route est plutôt de bonne qualité, sans plus.

Dans Eaux-Bonnes, la pente devient plus raide d'un coup! Tout d'abord il faut traverser le village : monter en haut d'une place par devant le casino, avant de redescendre sur 150m, et tourner à droite. Dès lors, la pente sera sans répit jusqu'au col, encore à 13km !

Je continue à monter, le paysage est vraiment très beau, avec une vue quasi permanente sur le Grand Gabizos et le pic de Ger, à + de 2600m. La montée est plutôt régulière, bien que sans répit. Il n'y a pas de vent, il fait environ 15°, et c'est plutôt ensoleillé. La météo est donc idéale !
Je trouve interminable la partie avant Gourette, où la pente atteint 10%. D'autant plus que mon compteur, acheté récemment, est mal calibré, et me rajoute environ 200m chaque kilomètre passé...


Pic de Ger, à 2600m


Vue sur le massif derrière Gourette


Peu avant Gourette, à 5km de l'Aubisque


A 3km du Sommet, route à flanc de montagne


Paysage sur le parking des Crêtes Blanches


La sortie de Gourette est à peine moins pentue, et je commence vraiment à fatiguer, alors qu'il reste 4,5km... Le paysage est magnifique, par une route à flanc de montagne direction ouest.

Je m'arrête à 2km de l'arrivée, vers un hôtel-restaurant haut perché nommé "Crêtes Blanches", et qui offre un magnifique panorama.

Les deux derniers kilomètres sont un tout petit peu moins pentus, mais il y a là un vent frais de montagne. Le paysage demeure toujours aussi beau.


Paysage à 1km du sommet


Arrivé au col d'Aubisque!


Vue est depuis le col d'Aubisque


Moutons en estive, au col d'Aubisque

Je m'arrête un peu au col d'Aubisque, heureux d'avoir dompté ce hors catégorie.
Puis je descends vers le col du Soulor. Une route splendide, à flanc de montagne, dans le cirque du Litor. Beaucoup d'animaux dont il faut faire attention. Je crois que c'est un des plus beaux endroits où j'ai eu l'occasion de me rendre en vélo !

Avant le col du Soulor, dans les Hautes-Pyrénées, une petite remontée de 2,5km. Rien de bien difficile, à vrai dire.

Route du Litor. Au fond sur la crête, le col d'Aubisque


Vue sur le cirque du Litor. 


La route dans le cirque du Litor. Au fond à gauche, le col du Soulor


Chevaux en liberté, peu avant le col du Soulor


Route dans la descente du Soulor


Route dans la descente du Soulor

Puis, après un plat chaud au Soulor, je redescends tout schuss vers Arthez d'Asson. La partie haute de la route est de très belle qualité, toujours en contour du cirque du Litor, une route sinueuse.


Cascade, vers Ferrières


Un beau hameau, entre Ferrières et Arthez-d'Asson

Après une demi-heure de descente, j'arrive à Arthez-d'Asson, qui signe la fin de la montagne. Il ne fait pas très chaud... Toutefois, ça ne signifie pas la fin des difficultés.

Dans Arthez-d'Asson, je tourne dans le village sur la gauche vers Bruges, pour un vrai petit raidillard de 500m de long, à 12% voire +. La route est étroite, et commence par un asphalte de bonne qualité.

Bien évidemment rien à voir avec l'Aubisque, mais néanmoins, je n'avais pas prévu une pente si raide.
Une fois passé la côte sèche, la route redevient faux plat jusqu'au col de Tisné, mais de bien moins bonne qualité. Puis la descente est assez sèche.

Vue sur Arthez-d'Asson
La route, entre Arthez et Bruges, vue ouest


La route, avant Capbis


Louvie-Juzon


Je redescends vers Bruges, avant de tourner à gauche vers Capbis. Là, je reste sur une petite route de qualité moyenne, en léger faux plat montant, dans un paysage assez béarnais, à savoir avec beaucoup de champs de maïs.

Après une quinzaine de kilomètres, le petit col des Voix après Pé-de-Hourat, puis et un petit col à 500m, j'arrive à Louvie-Juzon. Le ciel se couvre, et je commence à bien fatiguer.

Petit arrêt, avant de me lancer à l'assaut du Marie-Blanque. Je ne pars pas par grand optimisme, la couverture nuageuse s'abaissant à vue d'oeil... À Bielle, je tourne donc sur la droite, en direction du Marie-Blanque, un col de 2e catégorie situé à 1035m.
Ayant des doutes quant à la météo au sommet, à l'entrée de Bilhères, je m'informe auprès d'un cycliste qui redescend : malheureusement, il m'informe que le plateau du Bénou est dans le brouillard. Alors, par sécurité, n'ayant pas d'équipement adapté, je décide d'abréger la montée. Et de retourner sur Laruns. Tant pis pour le Marie-Blanque... ce col était en option.


Je retourne sur Laruns, après une belle et courte descente, et une route faite de légers faux plats, plutôt montants, mais se sentant à peine.

Au final, la journée aura été plutôt agréable, bien que j'ai trouvé la dernière partie de l'Aubisque interminable, que j'aurai grimpé à vitesse tranquille, à 6,5km/h.

Le petit village de Gère-Belesten


Laruns, point de retour. La boucle est bouclée!

samedi 5 septembre 2015

Ascension du col du Pourtalet

Samedi 5 septembre 2015.

On annonce une météo plutôt serein mais fraîche pour ce week-end. Par cette analyse météo, je me décide d'un nouveau week-end pyrénéen,  Direction Laruns, dans le Haut-Béarn. Un endroit au pied des cols du Pourtalet et de l'Aubisque. Deux cols que je ne connais pas.

En ce premier jour d'un week-end sportif, j'opte pour le col du Pourtalet. Pourquoi? Pour deux raisons. Déjà, faire 30km de montée peut se faire en une demi-journée, ce qui peut me permettre d'arriver relativement tardivement au point de départ, en prenant en considération les 2 heures de route nécessaires pour y parvenir. En outre, on annonce un vent de nord, ce qui semble parfait pour la vallée longiligne plein sud !


Km0 : Laruns. Je pars depuis le centre du bourg.

J'ai 1km de répit avant le début de la véritable montée, qui est à la sortie de Laruns.

Cette montée, dans l'ensemble, est très longue, mais n'est pas franchement difficile.
Après 500m de montée, soit on tourne à gauche vers l'Aubisque, soit on va tout droit vers le Pourtalet. C'est ce que je fais.
Les premiers kilomètres sont très beaux: d'abord on passe un petit tunnel, puis ensuite on arrive dans des gorges assez étroites, en faux plat. Et c'est ainsi jusqu'à Eaux-Chaudes.

Après Eaux-Chaudes, un hameau thermal très encaissé, la route reste toujours en faux plat, entre 3% et 5%. Ca le restera de longs kilomètres, dans un paysage plutôt forestier et somme toute assez monotone. Avec beaucoup de véhicules. Je m'y attendais, mais cela gâche toujours le plaisir...

Le paysage reste assez monotone, pour ne pas dire laid, jusqu'au barrage de Fabrèges, où se trouve la petite station de ski d'Artouste. Au niveau du lac, la pente devient nulle, avec 2km de replats assez bienvenus.
Après Artouste, le paysage s'embellit d'un coup !

On arrive dans la vallée du gave de Brousset, qui est une haute vallée assez large, assez droite, en légère pente, d'une beauté exceptionnelle ! Toujours un vrai plaisir de rouler dans ce genre de paysage. Mais il y a toujours beaucoup de circulation... En outre, j'ai un bienvenu vent de derrière. Certes un vent frais, mais un vent de dos.

Je continue tranquillement, vers 10km/h, vers le col, où le paysage reste très beau. La pente reste relativement douce, à l'exception de 2km à 9% de moyenne.

À 2km du sommet, le ciel se couvre d'un coup, et la température chute de 10° en quelques secondes... je crains un peu le brouillard, qui par chance ne tombera pas.

Après un peu plus de 2h30 d'efforts, à 11km/h de moyenne, j'arrive au sommet, pile sur la frontière. Je pensais me rendre jusqu'à Formigal 5km en contre-bas, malheureusement le brouillard menaçant m'en dissuade. Il y a beaucoup de circulation, et redescendre dans le brouillard ne serait pas la chose la plus enthousiasmante !

Je me prends un coca en Espagne au col du Pourtalet où se trouvent nombre de ventas et bars, puis je redescends. Lorsque je repasse la frontière pour descendre, il fait 7° seulement au col. Mais on pourrait croire qu'il fait encore plus froid !

Je redescends tranquillement, vers 30km/h. Le paysage est toujours aussi beau, bien que le ciel se soit couvert.
Le soir, peu après mon retour à Laruns, j'aurai quelques gouttes.

Profil du col du Pourtalet

Carte du col du Pourtalet

Laruns, kilomètre 0

Gorges du Hourat, à la sortie de Laruns
Les premiers kilomètres du col du Pourtalet
La route en faux plat montant, après Eaux-Chaudes. Un peu monotone...
La route en bas du barrage de Fabrèges
 Le lac de Fabrèges. À gauche, la station d'Artouste.
Le vallée large du gave du Brousset
Le vallée large du gave du Brousset, vers le col du Pourtalet
 Cascade, à l'entrée du Parc National des Pyrénées
Vue sur la haute vallée de l'Ossau, à 7km du sommet
 Dans la partie la plus difficile de la pente. 9%, ça reste acceptable.
 Moutons en estive : pittoresque, mais un danger permanent.
 À 2km du col du Pourtalet
Au col du Pourtalet, 1790m, sur la frontière. Il fait très froid!
Aucun doute : je suis en Espagne!
 Le gave de Brousset, en amont d'Artouste.
La station de ski d'Artouste, en redescendant
En redescendant à Laruns.

jeudi 3 septembre 2015

Une belle balade sur le plateau d'Iraty

Dimanche 30 août 2015


J'ai prévu d'aller à Saint-Jean-Pied-de-Port, pour une balade de 80km sur le plateau d'Iraty, un plateau à environ 1000m d'altitude que tous me disent sublime.
Ce que je n'avais prévu, c'était la météo... caniculaire ! Qu'à cela ne tienne, je n'aime pas franchement la chaleur, mais d'expérience, je sais grimper par du chaud n'est pas gênant en soi : il suffit de bien s'hydrater... alors j'embarque avec moi 4 litres d'eau, de quoi, pense-je, tenir le temps de la montée qui s'annonce, et sur le plateau.

Je pars vers 11h de Saint-Jean-le-Vieux, à 3 kilomètres de Saint-Jean-Pied-de-Port. J'ai pas encore fait 5km, j'ai déjà très chaud !


 Tracé du parcours


 Profil du parcours

 Sortie de Saint-Jean-le-Vieux, départ de l'étape


 Saint-Jean-Pied-de-Port


Saint-Jean-Pied-de-Port est une très belle petite ville, noire de monde, haut lieu du tourisme pédestre (au croisement des chemins de St-Jacques). Mais je ne fais que passer, pour prendre directement la route de St-Michel et d'Esterençuby.

Une belle route plutôt en léger en faux plat, et dans des beaux paysages. Il y a quelques passages assez raides, mais jamais plus de 200m, et toujours suivis de descentes.

Esterençuby, petit village de fin de vallée. Je refais le plein d'eau. A vrai dire, je croyais que c'était le début des vraies hostilités, à savoir le pied de la terrible montée d'Errozate... j'aurai encore 3km tranquilles, en faux plat montant.


Esterençuby
Paysage à la sortie d'Esterençuby

La route est bonne, il n'y a quasiment personne.

Puis à une patte d'oie, je tourne à gauche, direction "Iraty". Et c'est parti pour 10km de montée très raide, le col d'Errozate: un des pires cols de France!

Le col commence par une rampe longue et sévère de plus de 5km à près de 11% de moyenne. Une pente plutôt irrégulière, avec quelques replats se comptant en décamètres, et des passages avoisinant les 20%.
La route est de bonne qualité, mais il fait vraiment très chaud.

Le carrefour : à gauche le début du col d'Errozate

Vers 600m 


 Paisibles vaches, vers 650m

 Paysage et lacets, vue nord

 Vue sur la vallée de la Nive, d'où je venais, vers 800m


Au col d'Arthe. Attention aux moutons !
La vue de cette maison signifie (presque) la fin de la partie raide.



Je monte, à une vitesse tranquille, oscillant entre 4 et 5km/h le + souvent. Il fait chaud. La route comporte beaucoup de virages, et le vent commence à se faire sentir.

 A 2,5km du sommet


Vue depuis le col d'Arthaburu
 La route rétrécit à 1,5km du sommet d'Errozate


Quasiment au sommet d'Errozate


Il y a souvent des animaux sur la route, bovins, ovins, équins... Après 6km, la partie raide est enfin derrière moi, mais il me reste encore 4km de montée, sur une route de crête. Le paysage devient royal, mais le vent est fort ! Sans abri, il souffle en rafale vers 60km/h, le + souvent latéralement ou de face.



À 2km du sommet, peu avant le col d'Arthaburu, alors que je fais une petite pause à l'abri du vent, je rencontre deux vététistes espagnols. Nous causons un peu, et semblent perdus pour rentrer en Espagne. Tout en causant, je me ravitaille. Malheureusement... en sortant une barre énergétique de ma sacoche, je fais tomber... ma carte bancaire par terre! Je m'en rendrai compte après 10km,.. m'obligeant à un détour pour retourner la chercher, en espérant qu'elle soit toujours là où je la fis tomber...

Une fois expliqué la route à ces cyclos espagnols, je continue ma route : il me reste 2km jusqu'au sommet. 2km assez pentus, vers 10%, pour finir, sur une petite route d'un peu moins bonne qualité, mais tout à fait acceptable !

 Au sommet d'Errozate, 1280m !

Au sommet d'Errozate!

Pas grand chose pour matérialiser le sommet, juste un trait sur la route...



Je ne suis pas mécontent d'arriver au sommet d'Errozate, un peu usé tant par la montée de 10km très éprouvante, que cette prise au vent quasi constant, à décorner des bœufs... La chaleur est appréciable, autour de 25°, et le paysage est grandiose !



Je redescends au col d'Errozate, en contre-bas, à proprement parler sur la frontière espagnole, que je ne traverserai pas. Une petite route de bien moins bonne qualité, parfois un peu dangereuse, et avec beaucoup d'animaux. La descente est prononcée, vers 10%, mais je ne peux pas dépasser les 30km/h, sur cette route très isolée, où il n'y a pas âme qui vive 15km à la ronde...

Je continue la route, plutôt en descente, en longeant la frontière, vers les cabanes d'Egorgy, dans un paysage très champêtre. Et c'est là, en fouillant dans ma sacoche, que je me rends compte de ma perte de carte bancaire... Petit moment de stress pour me rappeler quand j'aurais pu la perdre... et qui m'obligera à faire 10km de plus que prévu, afin, je l'espère, la récupérer là où je pense l'avoir fait tomber.

Au col d'Errozate, vue sud-est

Vue sur le col d'Errozate, et la frontière franco-espagnole dans la vallée 


La route dans la vallée vers Egurgy

Beauté du paysage 


 La route, défoncée


 Aux cabanes d'Egurgy
 Cadre champêtre vers Egurgy

Chevaux 


 Moutons
Sublime paysage dans une impression de solitude, vers le plateau d'Irau
Plateau d'Irau 


 Pic d'Irau, très beau!
Magnifique étendue du plateau d'Irau
 Plateau d'Irau

 Vue nord-ouest, vers 1100m d'altitude


 La route vers le col d'Arthaburu


Moutons sur la route


Passé Egorgy, je remonte par cette même route, devenant plutôt de bonne qualité, en faux plat, et toujours beaucoup d'animaux en estive dans le paysage!



Après 4km, je remonte sur le plateau d'Irau, que je contourne. Un plateau de tourbière splendide! Au niveau du Pic d'Irau, alors que je devais tourner à droite pour rejoindre le Burdincurucheta, je m'en vais vers la gauche, pour retourner au col d'Arthaburu.
Une route splendide, faite de faux plats montants et descendants; sauf la partie finale, de 2km à 10% de moyenne.


Par chance, le vent n'a pas fait envoler trop bas ma carte bancaire, que je retrouve très facilement ! Au col d'Arthaburu, je retourne donc en arrière, vers le pic d'Irau, et le col de Burdincurutcheta.

Il est relativement tard, alors je ne traîne pas trop. Je repasse donc à côté du pic d'Irau, puis je continue vers le beau petit col du Sourçay. La montée n'a rien d'intéressant, dans une forêt, en faux plat assez peu prononcé ; mais le col est dégagé, et il offre de belles vues. Sans même m'arrêter une seconde, je redescends aussitôt ensuite vers les chalets de Pedro. Un lieu qui se situe au pied des cols de Bagargui et de Burdincurucheta.

 Paysage vers les chalets de Pedro, aux pieds des cols du Bagargui et Burdincurutcheta


Montée dans le col de Burdincurutcheta 


 Au col de Burdincurutcheta

 Vue est, vers 1000m
 Vue ouest, vers 800m

Vue nord, dans la descente de Burdincurutcheta

Changement de décor! Là, il y a un petit lac, beaucoup plus de monde qui semblent se balader en famille, et une auberge bienvenue, pour refaire mes réserves en eau, quasiment épuisées... Ce point signifie la fin de ce splendide plateau d'Iraty.

Je me repose une bonne demi-heure à l'auberge et à l'ombre, avant d'attaquer le dernier col de la journée : le col de Burdincurutcheta,

Un petit col de 3km, pas très pentu, sur une route large et de bonne qualité, plutôt très régulier. J'arrive au sommet à 1150m plutôt frais, et satisfait de la journée !
Il ne me reste plus qu'à descendre jusqu'à Saint-Jean-le-Vieux, une descente très prononcée plutôt régulière, sur une route large et assez droite, à l'exception de quelques épingles à cheveux.

A Mendive, je récupère la chaleur étouffante de la plaine. Mais il ne me reste plus que 7km jusqu'à la voiture, à Saint-Jean-le-Vieux.

J'arrive à la voiture vers 18h30, après 81km, et une moyenne de 19km/h. J'en suis plutôt satisfait !